Tuesday, April 27, 2010

A Tale of Two Katimaviks

The pavilion of China at Expo 2010 seems rather familiar, wouldn't you say?

I wonder if the pavilion's designers were also inspired by an ashtray...?

image montage by author

Sunday, April 25, 2010

Expo 2010

On the eve of the 43rd anniversary of Expo 67, the city of Shanghai, China is busy preparing for its own turn to play host to the world.

Expo 2010 is a BIE registered event, in the grand tradition of world's fairs and international exhibitions, running from May 1 to October 31, 2010.

Expo 2010's logo and theme.

The fair's logo features the Chinese character (meaning "world") modified to represent three people together with the 2010 date. The overall theme "Better City, Better Life" seeks to explore solutions to the problems facing modern cities. Different sub-themes examine urban strategies, policy making, and sustainable development:

• Blending of diverse cultures in the city


• Economic prosperity in the city

• Innovations of science and technology in the city

• Remodelling of communities in the city

• Interactions between urban and rural areas

Expo Axis is the world's largest membrane roof. It spans Expo Boulevard.

Over 190 countries and 50 international organizations are participating in Shanghai's Expo 2010, with an expected attendance of 70 million visitors (Expo 67 had just over 50 million).

The 5 zones of Expo 2010.

The Expo 2010 site covers a total of 5.28 square kilometers and is divided into 5 zones: 3 on the eastern bank of the Huangpu river (in the Pudong district with the famous skyline of modern Shanghai) and 2 on the western bank (in the Puxi district, close to the old city center).

Zone A is where the Chinese Government and Chinese provinces' pavilions are located, as well as other Asian and Middle-Eastern nations.

Zone B contains the pavilions of Southeast Asia and Oceania as well as theme pavilions, international organisations' pavilions, Expo Center, Expo Park and the Performing Art Center.

Zone C encompasses the pavilions of the European nations and the Americas, as well as the African and Carribean pavilions. The Canadian pavilion is located in Zone C.

Zone D is comprised of corporate and industrial pavilions, as well as the World Expo Museum, a pavilion that pays homage to the history of world's fairs and exhibitions.

Zone E includes the the Chinese shipbuilding industries' and other private enterprises' pavilions, as well as the "Communication & Information" and "Space" pavilions.

Click here for the complete list of pavilions at Expo 2010, zone by zone.

China chose the traditional Dougong style to reflect "Chinese Wisdom in Urban Development".

The music-box-like Singapore pavilion represents its "Urban Symphony" theme.

Israel discusses "Innovation for Better Life" in a seashell-like structure.

The United Arab Emirates pavilion is a huge golden sand dune, inspired by the country's desert.

The United Kingdom explores "Building on the Past, Shaping our Future" with its sparkling Seed Cathedral.

Romania's "green apple" is inspired by the country's most popular fruit, meant to represent sustainable ("green") development.

Canada's pavilion is C-shaped. Its theme is "The Living City: Inclusive, Sustainable, Creative".

Italy's modular pavilion showcases "City of Man" and houses an Italian mini-city.

The African pavilion will present the exotic landscape of Africa, highlighting its long history of civilization and its vigor and vitality in modern times.

The Poland pavilion combines modernity and folk art to represent its creativity and imagination.

Germany's "Balancity" is a magnificent crystallization of Germanic originality and technology.

World Expo Museum is dedicated to the history of world's fairs and exhibitions.

The Space pavilion looks like a "magic cube" suspended in space.

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When I started this blog 4 years ago, I didn't know where my passion would eventually lead me.

I am thrilled to announce that from May 8th to the 23rd, I will be in Shanghai, China to visit Expo 2010...!

I will finally experience a world exhibition, first hand.

Part of what made Expo in 1967 so special was Canada's coming of age in the 1960's. China is currently experiencing that same sort of global emergence, which will no doubt be reflected in their own world happening...




images sourced from flickr.com. "Australia" montage by author.

Wednesday, April 7, 2010

SANDRA BULLOCK VICTIME D'UN SCANDALE "À LA TIGER WOODS"...


Il y a quelques semaines, les gens qui connaissent Sandra Bullock depuis longtemps auraient souri spontanément dès qu'on leur aurait demandé de parler de celle qui vient de remporter l'Oscar de la meilleure actrice de cinéma pour son rôle dans le film THE BLIND SIDE. Ses anciennes compagnes de classe de l'école secondaire WASHINGTON-LEE auraient évoqué avec plaisir les souvenirs qu'elles ont de cette fille qui semait la joie autour d'elle par ses plaisanteries et ses pitreries. Des témoins de ses années d'adolescence auraient mentionné que celle qu'ils surnommaient "Sandy" était un véritable rayon de soleil partout où elle passait. Ils auraient ajouté que ce n'est pas pour rien qu'elle avait mérité le titre de "THE MOST LIKELY TO BRIGHTEN YOUR DAY". Dotée d'un sens de l'humour très développé, enjouée et pleine d'énergie, on aurait signalé qu'on la retrouvait dans à peu près toutes les activités du High School, y compris dans l'équipe de cheerleaders où ses talents remarquables de danseuse suscitaient l'admiration de ses consoeurs. L'ayant toujours connue espiègle et pimpante, ses "vieilles" amies doivent avoir beaucoup de mal à l'imaginer triste ou malheureuse aujourd'hui, surtout en pleine gloire, après avoir été couronnée par les gens de l'industrie du cinéma.

Après son triomphe aux Oscars, on aurait pu s'attendre à ce que Sandra Bullock soit reçue en grandes pompes dans des endroits prestigieux ou dans les plus gros "shows" de télévision aux USA. Les honneurs qu'elle reçoit, qui sont une sorte d'apothéose et une forme de consécration de son immense talent, auraient dû la rendre heureuse, elle dont le caractère naturellement joyeux prédispose déjà à toujours voir les choses du bon côté. Or, à l'heure actuelle, loin de jubiler et de montrer sa fierté en public, Sandra se cache parce qu'elle a honte et est dévastée par le scandale dans lequel son mari Jesse James l'a plongée. Une histoire d'infidélités multiples ressemblant à l'affaire Tiger Woods, qui a tant fait couler d'encre et fait parler les gens dans le monde entier.

On avait d'ailleurs vu James célébrer les succès de sa compagne avec elle, à la cérémonie suivant la remise des prestigieux prix de l'industrie cinématographique. Quelques jours plus tard, Michelle McGee, actrice de films pornographiques et une de ses onze présumées maîtresses, révélait la double-vie de James au grand jour. Sous l'emprise d'une dépendance sexuelle rappelant celle de Tiger Woods, celui qui avait épousé Sandra Bullock en 2005, se servait de petites annonces sur internet pour attirer ses futures conquêtes féminines. Opérant par l'intermédiaire d'un genre d'agence de casting bidon, il recrutait des femmes pour participer à de prétendus projets artistiques. Il avait un goût prononcé pour les filles ayant de gros seins et de nombreux tatouages. Leur faisant sans doute miroiter des possibilités de carrière au cinéma, il devait les inciter à coucher avec lui pour obtenir ses faveurs.

Après l'éclatement du scandale, Jesse James s'est fait soigner en clinique pour sa dépendance au sexe et il a demandé pardon pour ses fautes. Encore là, en quelque sorte, à l'imitation de Tiger Woods... Sauf que, à la différence d'Elin Nordegren, l'épouse du champion de golf, Sandra n'est pas disposée à pardonner à son mari. Elle se sent d'autant plus humiliée et trahie en raison des déclarations qu'elle avait faites aux journalistes concernant son mariage tardif, à l'âge de 41 ans. Elle avait alors dit qu'elle ne se marierait qu'une seule fois, lorsqu'elle serait certaine d'avoir trouvé l'homme de sa vie !

Maintenant, la célèbre actrice de 45 ans, native de Arlington en Virginie, songe à demander le divorce. Elle vit dans la hantise d'avoir pu être contaminée (VIH) par son conjoint, qui ne se protégeait pas lors de ses relations sexuelles avec des partenaires à risque. Il y a quelques jours, James a été vu sortant ses effets personnels d'une des maisons appartenant à Bullock. Monétairement parlant, la brillante actrice n'est pas à plaindre. On estime à près de 100 millions de dollars les revenus qu'elle a encaissés jusqu'ici dans sa carrière (14e plus riche au monde dans son domaine, en 2007). Riche, elle l'est au point de posséder plusieurs domaines et sa propre maison de productions cinématographiques, FORTIS FILMS, où travaille son père John et dans laquelle sa soeur Gesine (avocate) est aussi impliquée. Son souci maintenant, c'est de protéger sa fortune des réclamations que pourrait faire son futur ex-mari.


Les proches de l'actrice trompée et blessée, ont rapporté qu'elle vit comme un deuil l'échec de son union avec James. La dernière fois qu'elle a été aussi triste c'était il y a dix ans, lors du décès de sa mère Helga, une chanteuse d'opéra de nationalité allemande, qui lui avait fait faire ses premiers pas sur une scène alors qu'elle était encore une enfant. En effet, c'est cette mère attentionnée et aimante, qui l'a élevée dans un milieu d'artistes et qui lui a enseigné les rudiments du métier (et la langue allemande) en lui confiant des rôles de choriste et de figurante lors de ses pectacles d'opéra en Europe. Dès ces premières expériences, et en observant sa maman sur scène depuis les coulisses, Sandra savait qu'elle aussi était faite pour la vie d'artiste, pour divertir le public, pour rendre les gens heureux.

Revenue aux États-Unis pour ses études secondaires, Sandra perfectionnera ses aptitudes pour la danse. Elle a d'ailleurs remporté plusieurs concours d'amateurs dans cette discipline en plus de s'affirmer comme meneuse de claques jusqu'à devenir capitaine de son équipe de cheerleaders au niveau universitaire, en 1984, à la East Carolina University. À la blague, elle dira plus tard qu'elle est devenue cheerleader pour échapper à la surveillance de sa mère et pouvoir rencontrer des garçons. Fantasque de nature, elle aimait bien faire des ballades, assise sur les guidons des bicyclettes de ses amis... Mais sa mère n'appréciait guère ces écarts de conduite et ne voulait pas que l'aînée de ses deux filles fréquente les garçons avant qu'elle atteigne l'âge de dix-huit ans.

Étudiant en art dramatique pour devenir actrice, Mlle bullock exaspérait parfois ses professeurs à cause de son manque de sérieux. Un de ceux-ci l'avait même avertie qu'elle ne réussirait jamais à faire carrière si elle ne changeait pas d'attitude. Elle complètera sa formation en suivant des cours à New York et en obtenant quelques rôles mineurs sur Broadway.

C'est plutôt à Los Angeles qu'elle lancera véritablement sa carrière d'actrice. Au petit écran, on la verra notamment en 1989 dans la série L'HOMME DE SIX MILLIONS. Clin d'oeil au métier de chanteuse, que sa mère exerçait, Sandra a écrit et interprété une chanson (Heaven knocking on my door) en 1993, dans le film THE THING CALLED LOVE). Mais c'est avec son rôle d'Annie Porter dans le film SPEED (1994, avec Keanu Reeves en vedette) que Sandra Bullock est devenue une star. Alors au début de la trentaine, Sandra est belle comme elle ne l'a jamais été et comme elle ne le sera plus autant ensuite après avoir attteint la quarantaine. Le réputé magazine PEOPLE'S la classera d'ailleurs dans ses "50 Most Beautiful" en 1996 et en 1999.

Sandra Bullock n'a pas connu que des succès au cinéma. Ironie du sort, elle a reçu, presqu'en même temps que son Oscar, un Prix Razzie (prix dérisoires décernés pour les pires films, acteurs ou artisans du cinéma) pour sa performance dans ALL ABOUT STEVE. Mais disons que sa moyenne a été assez bonne pour qu'elle ait droit à son étoile sur le HOLLYWOOD WALK OF FAME (trottoir des célébrités, 24 mars 2005). Si Sandra a assez le sens de l'humour pour "digérer" son Prix Razzie, il en va autrement pour ce qui est d'accepter avec grâce les infidélités de son mari. Évidemment dans le milieu du showbiz, là où les égos sont énormes et les jalousies terribles, le scandale dont est victime Sandra Bullock a provoqué des remous. Certaines rivales ont fait des déclarations méchantes et cyniques. Comme c'est souvent le cas dans des scandales semblables, la presse à sensation se déchaîne et fait circuler des rumeurs au sujet de l'existence de films privés (maison) montrant les ébats sexuels de Sandra avec son mari. La principale intéressée a nié tout ça.

Traquée par les paparazzis, la nouvelle Oscarisée a recours aux déguisements usuels dans les circonstances, lorsqu'elle doit sortir de chez elle. Cachée dans des voitures aux vitres teintées, elle porte des manteaux amples, de grands chapeaux, et elle dissimule son regard derrière des lunettes noires. Sous le choc, après le dévoilement du scandale, on imagine que Sandra vit présentement des heures sombres. Que de questions angoissantes a-t-elle pu se poser ! Combien de réponses douloureuses a-t-elle envisagées ? Un peu comme Nelly Furtado dans la chanson SAY IT RIGHT qui accompagne le montage ci-dessous. C'est un remix qui peut traduire en musique le caractère affolant et troublant de la situation dans laquelle se retrouve Sandra Bullock.


Saturday, April 3, 2010

Expo 67 Monorail Garage

Check out this rare shot of an Expo Monorail garage under the embarkment platform of one of the stations... I wonder what was in the cardboard boxes?

image sourced from ebay.com