Sunday, March 18, 2012

Klaus Bürgle

Klaus Bürgle
100-storey residential towers, jet powered commuter trains, 1968.

The graphic artist Klaus Bürgle was born in Stuttgart, Germany in 1926.

Bürgle studied at the the Stuttgart State Academy of Art and Design from 1948 to 1951. After a 1-year stint working at a graphic design firm, he decided to go freelance. It was in 1953 that he began illustrating for science and technology magazines such as Das Neue Universum ("The New Universe").

Throughout the 1950's and 60's, Klauss Bürgle created countless covers and interior illustrations for a wide variety of popular science books and magazines, as well as working on scientific-themed television shows. While space exploration was certainly his favorite subject, many of his works show futuristic cities and transport.

Much like Star Trek or Expo 67 itself, I've always loved how the "future" was depicted in the past...!

Klaus Bürgle
"Air station" connected to rail system with parking for thousands of cars, 1955.

Klaus Bürgle
Interchange with seperate levels for cars and public transit, 1965.

Klaus Bürgle
Multi-storey expressway with overhead monorails, 1959. (I love the cars...!)

Klaus Bürgle
A fully automated rapid transit system carrying both people and cars, 1969.

Klaus Bürgle
Remote-controlled high-speed tube trains, above and below ground, 1967.

Klaus Bürgle
Polar-region air terminal, 1953.

images: retro-futurismus.de

Monday, March 12, 2012

SPRING BREAK AMÉRICAIN : AUCUN DANGER N'ARRÊTE LES ÉTUDIANTS À CANCUN.


Voici revenu la folle période de la semaine de relâche scolaire. Elle n'a pas la même signification d'un pays à l'autre ou...d'un étudiant à l'autre. Pour certains c'est un temps de repos, de ressourcement, de réflexion. Pour d'autres, c'est une semaine de lecture et de rattrapage dans les travaux scolaires. Mais pour la majorité des collégiens américains, le "Spring Break" veut dire : vacances au soleil du sud, parties à n'en plus finir, et une foule d'activités permettant de s'amuser, de lâcher son fou, et de se changer les idées. Au diable la discipline et les études ! On n'obéit à rien ni à personne. On vit au rythme de ses fantaisies. On profite de la liberté et de la jeunesse, avec excès et insouciance. Dans de telles circonstances et avec un état d'esprit semblable, on ne sera pas étonné que les directives ou les avertissements des autorités publiques, concernant d'éventuels dangers du spring break, soient pas mal ignorés par les collégiens en goguette.



Ainsi, pour la troisième année consécutive, le Département de la Sécurité Publique du Texas (DSPT) a mis en garde les jeunes de cet état du sud des USA contre les dangers de se rendre au Mexique pour la relâche. Le DSPT faisait spécifiquement référence à la violence engendrée par les activités criminelles des cartels de la drogue dans le pays voisin, situé au sud des États-Unis. On recommandait aux vacanciers étudiants d'éviter particulièrement certains bars et certains clubs de nuit de Cancun, Acapulco, Mazatlan, Cabo San Lucas et Tijuana. Évidemment, le département du tourisme mexicain, et les responsables à l'ambassade du Mexique, ont protesté vigoureusement contre ces avis du DSPT. Ils les jugent trop alarmistes et exagérés. Il faut dire que les agents économiques mexicains tiennent beaucoup à cette clientèle américaine. Elle est payante puisque chaque étudiant dépense en moyenne $ 500 durant son court séjour au Mexique. Il est vrai que certains hôtels ne désirent pas accueillir ces jeunes souvent trop turbulents, qui font du vandalisme ou troublent la quiétude des autres clients.



Mais tout indique que les mises en garde du DSPT n'ont pas été entendues ni respectées. D'après les réservations d'hôtels (dont plusieurs affichaient complet), Cancun était déjà assurée d'être cette année la destination numéro 1 des étudiants pour le Spring Break. L'an dernier c'est Punta Cana et la République Dominicaine qui avaient obtenu les faveurs des collégiens américains qui ont voyagé en dehors de leur pays, en cette période de relâche. Interrogés à savoir pourquoi ils voulaient passer leurs vacances à Cancun malgré les avertissements de danger à cet endroit, quelques étudiants ont répondu qu'ils avaient mis de l'argent de côté pendant des mois afin de se payer du bon temps là-bas. "Peu importe, ont-ils affirmé, nous aurons du plaisir malgré tout". Parmi les moyens de se faire du fun, il y a les fameux concours de LA PLUS BELLE FILLE EN BIKINI ou ceux de LA FILLE QUI SECOUE LE MIEUX SON POPOTIN. Voici un exemple de ce dernier genre de compétition. Ça date d'il y a deux ans, sur la plage de Panama City, en Floride. Vous constaterez qu'il y a forcément de meilleures candidates que d'autres. Ça crève les yeux ! Oh Boy !

Sunday, March 4, 2012

Betsy McCall at Expo 67

Betsy McCall at Expo 67 
In 1951, McCall's women's magazine introduced a paper doll called Betsy McCall; a spunky little girl with a pug nose, brown eyes and a brown bob.

An instant hit, the editors of McCall's had rightly guessed that mothers would be even more inclined to buy their magazine if it contained a nice little extra for their daughters. Each month, little girls across America begged their mothers for the very latest Betsy. Additionally, for a small fee (25¢ in 1967) paper dolls printed on cardboard could be ordered by mail.

Appearing in most issues of the magazine from 1951 to 1995, each Betsy McCall installment came with a set of paper dolls and clothing, as well as a fun little story meant to inspire children as they played. Sometimes Betsy would be helping Mom around the house, working in the yard, or celebrating a holiday.

In August of 1967, Betsy and her family visited Expo 67. She wrote to her cousin Linda of her Expo adventures:

Betsy McCall at Expo 67

Betsy McCall at Expo 67 
"All five of us have been touring the fair - the twins in a pushcart like zillions of other babies," wrote Betsy. "It's hard for me to describe the buildings very well because they are like nothing you've ever seen, so I'm sending snapshots Daddy took."

Betsy McCall at Expo 67 
"We rode on the monorail, which is a railroad in the air; it slips through the United States pavilion and comes out the other side - Daddy says it's like a squiggly worm going through an ENOURMOUS apple..."

Betsy McCall at Expo 67
original image source: thebleudoor.com