Saturday, December 24, 2011

MÈRES NOËL TRÈS SEXY !


Joyeux Noël à tous les lecteurs de CLIN D'OEIL SEXY ! Comme de raison, nos cartes de souhaits mettent en évidence quelques-unes des "mères" Noël les plus sexy dont vous pouvez rêver ! Celle qui apparaît ci-dessus semble avoir glissé du traîneau du Père Noël et se cherche un autre moyen de transport pour remplir ses engagements envers tous ceux et celles qui attendent des cadeaux. Avec le physique avantageux qu'elle possède, nul doute que cette p'tite mère constituerait elle-même le "cadeau" parfait pour plus d'un homme ! J'imagine que cette auto-stoppeuse mal prise a trouvé rapidement un bon samaritain pour la secourir et l'aider à faire un bon bout de chemin...



La période des fêtes de fin d'année est épuisante pour les personnes qui doivent travailler en ces jours surchargés. Les aides du Père Noël ne fournissent pas à la tâche de livrer les cadeaux pour tout le monde. Parfois, lorsque les conditions météo sont difficiles, qu'il neige ou qu'il tombe du verglas, le personnel du bon vieux vieillard et roi de la Fête a besoin de repos et de changer leurs costumes détrempés. En attendant ses vêtements de rechange (photo ci-dessus) chez un client privilégié, cette mère Noël fait preuve de patience tout en guettant le moment où elle pourra reprendre le boulot !



Les cadeaux de Noël font partie de la tradition en cette période de réjouissance. Certains se plaignent que Noël est une fête trop commerciale. Que le matériel passe avant l'humain. C'est pourquoi des amoureux peuvent demander en chantant comme Mariah Carey : «All I want for Christmas is you». Ainsi, c'est leur amoureuse (photo ci-dessus) qu'ils pourraient retrouver au pied du sapin de Noël, dans un emballage cadeau. Un emballage très sommaire, on en convient...mais qui n'en est pas moins charmant...



Pour ceux et celles qui fêtent Noël en grand, dans le luxe et des décors somptueux, une hôtesse élégante et sophistiquée est requise pour recevoir les invités autour de la table du réveillon. Que de mieux qu'une jolie maîtresse de maison, vêtue d'une robe sexy à couper le souffle, pour vous mettre en appétit ! Et elle vous reçoit avec des gants de velours, et un beau sourire, s'il-vous-plaît !

Happy Holidays!

Happy Holidays!

Happy Holidays from the Expo Lounge!

Sunday, December 4, 2011

A Very Michèle Richard Christmas

A Very Michèle Richard Christmas
My retro-licious Expo 67 Christmas tree has a new twist this year: I've added custom-designed Michèle Richard ornaments... Oui, les amis ...!

A Very Michèle Richard Christmas

A Very Michèle Richard Christmas 
images: author's own

Monday, November 28, 2011

LE TOP 5 DES RAMASSEUSES DE BALLES LES PLUS SEXY DU TOURNOI DE TENNIS DE MADRID.


Le tennis a longtemps été étiqueté "sport de bourgeois". Un sport d'aristocrates. Un sport anglais où le conservatisme était de mise. Depuis le premier tournoi de Wimbledon en 1877, les joueurs ou les joueuses qui l'ont pratiqué professionnellement ont dû respecter des règles strictes et suivre un code vestimentaire rigoureux. Jusqu'aux dernières décennies, les tenues classiques, tout en blanc, étaient de rigueur. Même chose pour celles des ramasseurs ou des ramasseuses de balles engagés par les organisateurs de tournois. Le plus souvent, ces employés étaient des adolescents, des étudiants ou des étudiantes formés dans les meilleurs collèges anglais. Ils devaient être discrets sur les courts. Et surtout ne pas faire de gaffes qui viendraient perturber le bon déroulement des matchs.



En 2004, cherchant un moyen d'attirer l'attention sur leur tournoi, les maîtres d'oeuvre du Masters de Madrid ont créé toute une commotion en recrutant des mannequins de la compagnie Hugo Boss pour remplir les fonctions de ramasseuses de balles. Des "cover girls" âgées de 19 à 28 ans envahirent les courts de tennis de Madrid vêtues de robes sexy, de mini-jupes, ou portant le short et le débardeur de façon très...décontractée ! Les réactions ne se firent pas attendre ! D'abord, on entendit la colère des parents dont les adolescents avaient perdu leur emploi au profit de ces beautés en espadrilles. Puis ce furent les protestations des puristes du tennis qui maugréaient contre ces "pin-up" qui allaient détourner l'attention du public aux détriments des joueurs et des joueuses. L'affaire eut même des rebondissements au parlement espagnol où des politiciennes de gauche dénoncèrent cette autre exploitation sexuelle de la femme par des hommes.



La majorité des participants au tournoi assurèrent que ces ramasseuses de balles très spéciales ne nuisaient aucunement à leur concentration sur la surface de jeu. Ils acceptaient la présence de ces jeunes femmes sexy comme un vent de fraîcheur ajoutant une touche moderne à leur sport. Ils étaient conscients que cette audace des organisateurs était bonne pour le spectacle et...les cotes d'écoute de la télédiffusion du tournoi.



Certains observateurs émettaient toutefois des réserves quant à la formation de ces jolies modèles prêtées par Hugo Boss. En deux semaines d'apprentissage, pouvaient-elles maîtriser toutes les subtilités des règlements du tennis ? Et savoir comment exécuter précisément le ballet savant de tous les déplacements aux abords des courts ? Auraient-elles la résistance et la patience de demeurer accroupies sous un soleil ardent pendant de longues périodes de temps, tout en pouvant bondir énergiquement pour récupérer opportunément les balles ayant échoué dans le filet ou en fond de terrain ?



Force est de reconnaître que le temps et l'expérience ont donné raison aux gens du comité de direction du tournoi de Madrid au sujet de l'embauche de cette charmante main-d'oeuvre. Une seule fois a-t-on pu remarquer que l'arbitre d'un match ait réprimandé une "ball girl" parce qu'elle était mal placée ou avait mal agi. Ce qui est certain cependant, c'est que les organisateurs du Masters de Madrid ont atteint leur but qui était de mousser la popularité de leur tournoi !


Autre texte (et un diaporama de photos de ball girls sexy), sur le même sujet, sur mon site TROP SEXY POUR LE SPORT : http://tropsexypourlesport.blogspot.com/2011/04/ramasseuses-de-balles-trop-sexy-pour-le.html

Saturday, November 26, 2011

Retro Recipe: Petticoat Stiffener

Retro Recipe: Petticoat Stiffener 
After the rationing and shortages of World War II, women were longing for frivolity.

Enter fashion designer Christian Dior in 1947. His debut collection was called "Corolle"... literally, the botanical term for a circlet of flower petals. "I have designed flower women," said Dior of his new silhouette that emphasized wasp waists and flared, petticoated skirts. Harper's Bazaar dubbed it the "New Look", and Dior's name in fashion history was made.

Dior's New Look dominated the fashion world for about 10 years, progressing from a gentle swish in the early 50's to a round ball like bouffant effect by the 1960's (think, Mad Men). Tiered, ruffled petticoats were extremely popular, especially with teenage girls, often worn 2 or 3 at a time. Each petticoat was stiffened in some way either by conventional starch or a strong sugar solution.

From Grandma's Vintage Recipes, a DIY concoction to add pouf to your petticoat and crunch to your crinoline:

3/4 cup cornstarch
2 tablespoons turpentine
2 tablespoons borax
1 quart cold water

Stir up.

Dip in & iron dry.

Retro Recipe: Petticoat Stiffener 
images: (top) etsy.com
(bottom) fashion.lilithezine.com

Sunday, November 20, 2011

The Expo 67 Memorial Album

The Expo 67 Memorial Album 
Of all the Expo 67 books ever published, this one was the Grand Poo-bah.

Released in 1968 by Thomas Nelson and Sons (Canada) Limited, the Expo 67 Memorial Album was the definitive descriptive and pictorial record of Montreal's world's fair.

The Expo 67 Memorial Album 
Designed by Gérard Caron and edited by Jean-Louis de Lorimier, this large, boxed coffee-table book featured a stunning mixture of color and black & white and photography, all interspersed by lengthy articles and observations on Expo 67.

The 368-page document was divided into 10 sections, including an eloquent preface written by Expo's Commissioner General, Pierre Dupuy, and an extensive index for easy reference. All texts and titles were in Expo's ubiquitous Optima font and presented in both French and English.

The Expo 67 Memorial Album 
Pigeons taking up residence at Place des Nations.

An introductory chapter by James Gladstone called "Magic Island" offered a unique and intimate portrait of Expo. In this picturesque example, the author describes the quiet morning hours before Expo's opening:

"An Expo-Express train rumbles into the elevated station and three maintenance workers step aboard, their night's work done. The sound of the train disappears across Concordia Bridge. A pigeon flutters down from the huge concrete Expo symbol at the end of the square and flops heavily onto the deserted podium, the sound clear above the hushed rush of the river."

The Expo 67 Memorial Album 
Expo's Deputy Commissioner General Robert F. Shaw penned the chapter "How Expo Was Built". Shaw credited the Critical Path method for keeping Expo's extensive construction on schedule:

"Probably the most important technique introduced by the Installations and other departments was the critical path method and schedule. [...] The critical path method of scheduling is based on breaking down any given project into specific elements and assigning deadlines for the progress and completion of each element. The method is, of course, only as good as its programming, and all personnel involved were therefore trained to feed their collective skills into this important part of the project, and to receive from it reports on the results of individual performances on a day-to-day basis."

The Expo 67 Memorial Album 
An aerial view of Expo's man-made islands under construction.

The Expo 67 Memorial Album 
A stunning photo of the groovy Pulp and Paper pavilion.

The album's largest section was the chapter dedicated to "The Participants".  Divided into 3 parts - National Participants, Private Participants, Sponsors - this was the pavilion-by-pavilion overview of Expo 67. Listed in alphabetical order, an in-depth description and lavish photographs accompanied each and every pavilion and exhibit. The section was over 200 pages long.

The Expo 67 Memorial Album 
The Memorial Album covered each and every Expo exhibit. Here, Monaco.

The Expo 67 Memorial Album 
An aerial shot of the impressive U.S. pavilion.

The Expo 67 Memorial Album 
Over the years, this book has remained my number one research tool for pavilion posts on Expo Lounge. Highly sought after, it is one of my most prized Expo 67 treasures... as much for its beauty as for its usefulness.

The Expo 67 Memorial Album 
Photographs by Michael Francis McCarthy, used with permission.
Check out his ultra-fab blog: designKULTUR

Sunday, October 16, 2011

AHHHHH ! CES BAVAROISES DE L'OKTOBERFEST !


Parmi les substances liquides les plus importantes en ce bas monde, il y a bien sûr l'eau, source de vie, qui recouvre 75% de la terre. Il y a le pétrole, aussi surnommé l'or noir, source d'énergie -et de pollution- dont les humains sont trop dépendants. Et il y a la BIÈRE ! La bière de Munich et de l'OKTOBERFEST, cette fête de la bière allemande, qui s'en vient, le mois prochain, du 17 septembre au 3 octobre 2011. La plus grande fête populaire au monde a eu 200 ans l'an dernier. Et on a célébré cet anniversaire en grand en Bavière ! Plus de sept millions de visiteurs ont participé à ces réjouissances et ils ont ingurgité plus de six millions de litres de la précieuse boisson alcoolisée. Chaque année, des touristes viennent de partout afin de goûter à ce que bien des hommes définissent comme le bonheur parfait : boire de la bonne bière, entourés par de jolies femmes, au rythme d'une musique entraînante. En effet, que demandez de plus ? Les Italiens, les Américains sont au rendez-vous en grand nombre, tout comme les Japonais et les Australiens. Une fois au coeur de la fête foraine, ils oublient tous leurs soucis et c'est la belle vie ! On mange du poulet rôti (annuellement, 500 000 poulets sont dévorés à cette occasion) et des bretzels, on chante, on danse, on joue, on s'amuse ! Mais, surtout, on boit de la bière. Parfois trop ! Comme ces 600 ou 700 personnes que l'on doit secourir chaque année parce qu'elles ont sombré dans un coma éthylique...



Il faut dire qu'on les encourage à boire en grandes quantités puisque le minimum que l'on peut commander, comme consommation, c'est la chope de bière d'un litre, que l'on vend entre 6,6 et 8,4 euros l'unité. C'est bougrement cher ! Voilà pourquoi l'acheteur tient à ce que la chope contienne bien la quantité vendue. Mais c'est rarement le cas. Plus souvent qu'autrement, il n'y a que 0,9 litre dans chaque verre. On tolère ce manque à gagner. Mais parfois, même ce minimum n'est pas respecté. On peut parler alors de fraude. Les propriétaires de brasseries se défendent de gonfler le prix de leurs produits durant l'oktoberfest. Mais en 2010 une bière coûtait 942 % plus cher que la même chope en 1950. À titre de comparaison pour la même période de temps, le prix de l'essence a augmenté de 347 %. C'est peut-être pour ça que les buveurs de bière cherchent à récupérer une partie de leur argent en volant la chope elle-même. Ces dernières années, on a été obligé d'augmenter le nombre d'agents de sécurité pour contrer ce fléau. En 2008, ce personnel, qui fait partie des 12 000 travailleurs engagés par l'oktoberfest, a saisi 200 000 chopes que les visiteurs tentaient de subtiliser.



Mais, en général, les participants à la fête ne regardent pas trop à la dépense. En moyenne ils dépensent chacun 54 euros, pour un total de 830 millions d'euros au bout du compte. Il y a bien des attractions (200 en tout) pour permettre aux gens de se divertir et d'avoir du plaisir. Parmi les jeux et les manèges qui sont offerts à la clientèle de type familial, la grande roue de 50 mètres de haut, permet à ceux et celles qui y montent, de voir tous les paysages environnants. Une expérience excitante ! Mais la plus merveilleuse attraction de l'oktoberfest est sans contredit les hôtesses de la fête, c'est-à-dire les Bavaroises dans leur magnifique costume traditionnel. Cette robe à manches bouffantes accompagnée d'un tablier de couleurs vives est faite pour mettre en valeur leurs magnifiques attributs féminins ! Il va sans dire que nous leur réserverons une place de choix ici, dans CLIN D'OEIL SEXY... Nous y reviendrons donc à plusieurs reprises dans les prochains mois...

Autre texte sur le même sujet dans mon blogue BELLES À CROQUER (http://bellesacroquer.blogspot.com/2011/10/des-bavaroises-de-toutes-les-races-et.html ).

Sunday, September 4, 2011

Star Trek's Balok

Star Trek's Balok 
Balok was one of Star Trek's most iconic aliens.

Designed by noted sculptor and special effects master Wah Ming Chang, the sinister effigy appeared in the first season episode The Corbomite Maneuver.

Star Trek's Balok 
Wah Chang was responsible for many of Star Trek's most memorable creatures - the Salt Vampire, the Gorn, Tribbles - as well as some of the series' iconic props: the Communicator, the Tricorder, the Vulcan Lute. The design of the Romulan Bird of Prey warship was also his creation.

Trek aside, Chang worked on a host of motion pictures during his career:

At Walt Disney, he created sculptures that were used as references by the studio's animators: articulated deer models for Bambi, and a maquette of the Pinocchio puppet. The spectacular headdress worn by Elizabeth Taylor in the 1963 feature film Cleopatra was designed by Chang as well, as was one of advertising's most famous mascots: the Pillsbury Doughboy.

Star Trek's Balok 
The vocalizations of Balok were done by Ted Cassidy, the actor most known for his role as Lurch in the Addams Family television series. Cassidy had been hired to play in the Star Trek episode What are Little Girls Made Of and producers asked him to record Balok's threatening lines with his deep voice.

Star Trek's Balok 
Throughout the years, the image of Balok has remained legendary in the hearts and imaginations of Star Trek fans and a symbol of one of the most influential television shows of all time. Balok enthusiasts can buy t-shirts, wall graphics... even a Halloween mask...!

The ultimate souvenir, the original Balok head was recently unearthed and put up for auction. It sold for 70,000$...!

Star Trek's Balok 
The most memorable image of Balok for me was the one that appeared during Star Trek's final credits (above). I just loved that image of the bluish, cat-eyed alien in the eerily-lit control center...



images: (1-3-4) anonymousworks.blogspot.com
(2) google image search
(5) montage by author

Monday, August 15, 2011

Toronto's "Mini-Me" Expo 67

Toronto's "Mini-Me" Expo 67

Toronto's "Mini-Me" Expo 67
Aerial views of Ontario Place (top), Expo 67 (bottom).

In the early 1970's, the city of Toronto was having a little Expo-envy. Initiated by the Government of Ontario, Ontario Place was Toronto's answer to Montreal’s Expo 67.

Like Expo, Ontario Place was built on man-made islands along the city's waterfront. Officially opened on May 22, 1971, the park encompassed 96 acres of which 51 acres were land fill.

Toronto's "Mini-Me" Expo 67

Toronto's "Mini-Me" Expo 67
Ontario Place's pods (top) and Expo's Quebec pavilion (bottom) floated on water.

The original Ontario Place consisted of 5 glass-and-steel pavilion pods elevated above the water, each pod being suspended from tension cables anchored to a central column. Glass staircases and walkways connected the pods, islands and shore. The overall transparency of these structures created a feeling of floating in open space between water and sky. [To me, squarish structures floating above water call to mind the Quebec pavilion, while open spaces, tension cables and transparent membranes recall the German pavilion...]

Ontario Place’s five pods were offset by 2 focal points: the Forum, an open-air concert bowl [Autostade, anyone?], and the Cinesphere, the world's first permanent IMAX theatre, housed in a geodesic dome. [Comparisons to the U.S. pavilion are obvious, while the origins of IMAX can also be traced back to Expo 67...]

Boutiques and restaurants dotted the Pod/Cinesphere complex, including a fine dining restaurant called The Trillium.

Toronto's "Mini-Me" Expo 67

Toronto's "Mini-Me" Expo 67
Toronto's Cinesphere (top), Montreal's Biosphere, 1974 (bottom).

Ontario Place was originally rather sparse, awaiting future development. Early brochures presented Ontario Place as a "work in progress" that would be ever-changing. [Expo 67's follow up permanent exhibition "Man and His World" was also supposed to be an ever-changing "work in progress"...]

All this free space meant that like Expo 67, Ontario Place visitors could take refuge in large, park-like rest areas. And like Expo, graphics and pictograms in brilliant primary and secondary colors guided visitors throughout the site.

Toronto's "Mini-Me" Expo 67

Toronto's "Mini-Me" Expo 67
Fireworks booming above Ontario Place (top) and La Ronde (bottom).

In the early years, Ontario Place was a success: during its short May-through-September season, the park drew some 2.5 million visitors annually... establishing it as the fifth-most popular theme park in the world.

In 1972, The Children’s Village was unveiled, featuring an interactive play environment for kids. It quickly became Ontario Place's top attraction, and a water play area opened in 1973; featuring water cannons, spray bridges and pedal-powered deluge fountains. [La Ronde had its own Children's Village, while interactive games and water play were key features of the Vienna Kindergarten...]

The Girls of Ontario Place

Toronto's "Mini-Me" Expo 67
Ontario Place guides (left) Man and His World, 1968 hostesses (right).

Like Expo 67, Ontario Place's pretty hostesses drew a lot of attention:

Toronto Week magazine claimed: "There’s a lot to see at Ontario Place, and some of the easiest things on the eye are the attractive guides.”

The Globe and Mail did a photo spread of the girls, writing: “The 100 girls who are the hostesses at Ontario Place for the summer… have hot pants and pantsuits, a midi, a jacket and a stretchy yellow-and-white bubble blouse. Most popular are the hot pants. One girl commented ‘I’ve just got to shorten them.’”...


The Ontario Place theme song (above) was written by Dolores Claman, of Hockey Night in Canada fame. [Doesn't it sound just like A Place to Stand?]

images (1-3-5-7) robertmoffatt115.wordpress.com
(2) flickr.com
(4) archives de montréal
(6) chamblycounty.com
(8) alamedainfo.com
(9) montage by author

Wednesday, June 29, 2011

LES FOLIES DES COLLÉGIENNES SEXY LORS DE LA SEMAINE DE RELÂCHE...


Comme terrains de "chasse" de clichés "sexy" pour CLIN D'OEIL SEXY, les plages choisies par les collégiennes américaines pour y passer leur semaine de relâche sont extrêmement riches en occasions de toutes sortes ! À cette période de leur vie, que l'on peut nommer "adulescence", les complexes et les remises en question de l'adolescence sont choses du passé, et les obligations qui correspondent au monde des adultes n'imposent pas encore leur fardeau. On s'émancipe de l'autorité parentale, on lâche son fou, on vit à cent milles à l'heure au cours de cette courte semaine de liberté printanière. La chaleur de la plage, l'influence du groupe d'amis, et la consommation abusive de boissons alcoolisées aidant, on participe à toutes sortes d'activités, dont plusieurs à connotation sexy. Il suffit d'ailleurs de se promener tout simplement sur les plages pour avoir droit à un spectacle assez "olé olé" avec tous ces corps dénudés livrés au soleil et aux regards indiscrets (photo ci-dessus)... Certaines étudiantes en congé n'ont pratiquement rien à cacher lorsqu'elles prennent un bain de soleil... En relâche, on relâche tout !



Cette semaine de pause durant l'année scolaire, appelée aussi semaine d'études ou de lecture, a commencé à devenir une tradition aux États-Unis, après la seconde guerre mondiale. Selon les états ou selon la date de certaines fêtes comme celles de Pâques, le "spring break" américain a lieu en février, mars ou avril. Au début, la grande majorité des étudiants convergeaient vers les plages de la Floride, celles de Fort Lauderdale en particulier, pour oublier le stress des études. C'est un dénommé George Warren "Bob" Gill Jr qui a été le principal instigateur de cette fameuse semaine de "vacances" pour les jeunes des collèges et des universités du pays de l'oncle Sam. Il est reconnu comme le "père" du "spring break" à Fort Lauderdale. En 1935, l'équipe masculine de natation de Colgate University a commencé à se rendre dans cette localité pour s'y entraîner, à ce moment de l'année scolaire. Cette habitude a tracé la voie et a incité d'autres membres d'institutions d'enseignement à l'imiter. Ce qui a eu un effet d'entraînement qui a fait boule de neige (bien qu'il soit curieux de parler de neige dans ce cas !) et qui a attiré de plus en plus de jeunes à Fort Lauderdale lors du congé d'études.



En 1960, Fort Lauderdale s'ancra encore davantage dans sa vocation de capitale du "spring break" grâce au film "WHERE THE BOYS ARE", dont le scénario tourne justement autour de collégiennes qui rencontrent des garçons lors d'une semaine de relâche sur les plages de la station balnéaire floridienne. Mais au fil des années, avec la libération sexuelle et le relâchement des moeurs, les résidents de la place ont commencé à trouver moins drôle les folies des étudiants. Des jeunes bruyants et dérangeants, constamment sur le "party", causant de plus en plus de dommages aux propriétés publiques et privées. En 1985, sous la pression des citoyens, les autorités municipales ont dû mettre en vigueur des lois et des règlements restreignant les "parties" et les célébrations de toutes sortes qui troublaient l'ordre public. C'est également cette année-là que le gouvernement américain a adopté la loi fixant à 21 ans l'âge minimum pour consommer des boissons alcoolisées sur son territoire.



Ces mesures législatives plus sévères ont eu pour conséquence directe de déplacer le "spring break" vers des destinations étrangères plus accueillantes pour les "frasques estudiantines"... Le Mexique, entre autres, est devenu une terre hospitalière pour les jeunes en mal de liberté et de sensations fortes lors de la semaine de relâche... Sur ces nouveaux sites en dehors des USA, ou bien l'âge légal pour se saouler était plus bas, ou bien les lois et les règlements régissant cette norme n'étaient tout simplement pas appliqués... En tout cas, l'effet des restrictions promulguées à Fort Lauderdale a été brutal. Dès 1989, quatre ans après avoir été mises en vigueur, ces contraintes légales avaient fait passer le nombre de visiteurs de 350 000 à 20 000 durant la relâche.




De temps à autres, au cours des prochains mois, CLIN D'OEIL SEXY montrera ce qui se passe durant ce "spring break", une semaine de congé qui est tout, sauf reposante, pour ces jeunes hommes et ces jeunes femmes qui imaginent toutes sortes de concours et d'activités pour s'amuser ferme. Ça va des concours de bikinis jusqu'aux concours de gilets ou de camisoles mouillés, en passant par le calage de bière ou de spiritueux, et les "body shots", cette extravagance qui consiste à boire ou à lécher diverses substances ou boissons directement sur le corps de jolies filles (photo ci-dessus). Oui, il n'y a pas à dire, on en voit réellement de toutes les couleurs lors de cette incroyable relâche printanière ! Il faut bien que jeunesse se passe, mais, à certains endroits, elle se passe parfois de manière plus spectaculaire qu'ailleurs...


Monday, June 20, 2011

The Administration and News Pavilion

The Administration and News Pavilion (Expo 67)
The Administration and News pavilion was the nerve center of Expo 67.

Located in the Cité du Havre sector near Place d'accueil and the International Broadcasting Centre, the 3-storey structure housed the offices of Expo 67's administration and news services.

The award-winning building featured a stepped exterior, each floor overhanging the one below, providing maximum protection from direct sunlight.

Expo's 6 different administrative departments shared this space, including the public relations department (directed by Yves Jasmin),  Logexpo - the fair's housing bureau, and Expovox - its information centre. 

The Administration and News Pavilion (Expo 67)
The building had 3 wings, each with its own entrance hall; the idea being that each area could be used separately if so desired.

The halls were decorated by large concrete mural sculptures, the work of leading Canadian artists.  Different artists gave each of the entrances its own distinct look. 

The Administration and News Pavilion (Expo 67)
Impressive facilities were set aside for international journalists visiting Expo:

A bowl-shaped, 150-seat amphitheatre equipped with 6 television cameras was used for press conferences.  There were 4 studios reserved for filmed interviews, and 9 booths for radio broadcasting. Distinguished guests and newsmen had access to a special reception salon and a completely equipped press room.  Simultaneous translation facilities and interpreters were continually on hand. 

The building also featured a cafeteria, restaurant, bar, and underground parking.

The landscape area between the Administration and News pavilion and the International Broadcasting Centre contained a large reflecting pool and a sculpture.

The Administration and News Pavilion (Expo 67)
Unlike most Expo 67 structures, the Administration and News pavilion was designed to be permanent.  The building still exists today, housing the offices of the Montreal Port Authority and the Maritime Employers Association...

images: (1) expo67.ncf.ca
(2-3-4) personal collection (Montréal magazine)