Wednesday, June 29, 2011

LES FOLIES DES COLLÉGIENNES SEXY LORS DE LA SEMAINE DE RELÂCHE...


Comme terrains de "chasse" de clichés "sexy" pour CLIN D'OEIL SEXY, les plages choisies par les collégiennes américaines pour y passer leur semaine de relâche sont extrêmement riches en occasions de toutes sortes ! À cette période de leur vie, que l'on peut nommer "adulescence", les complexes et les remises en question de l'adolescence sont choses du passé, et les obligations qui correspondent au monde des adultes n'imposent pas encore leur fardeau. On s'émancipe de l'autorité parentale, on lâche son fou, on vit à cent milles à l'heure au cours de cette courte semaine de liberté printanière. La chaleur de la plage, l'influence du groupe d'amis, et la consommation abusive de boissons alcoolisées aidant, on participe à toutes sortes d'activités, dont plusieurs à connotation sexy. Il suffit d'ailleurs de se promener tout simplement sur les plages pour avoir droit à un spectacle assez "olé olé" avec tous ces corps dénudés livrés au soleil et aux regards indiscrets (photo ci-dessus)... Certaines étudiantes en congé n'ont pratiquement rien à cacher lorsqu'elles prennent un bain de soleil... En relâche, on relâche tout !



Cette semaine de pause durant l'année scolaire, appelée aussi semaine d'études ou de lecture, a commencé à devenir une tradition aux États-Unis, après la seconde guerre mondiale. Selon les états ou selon la date de certaines fêtes comme celles de Pâques, le "spring break" américain a lieu en février, mars ou avril. Au début, la grande majorité des étudiants convergeaient vers les plages de la Floride, celles de Fort Lauderdale en particulier, pour oublier le stress des études. C'est un dénommé George Warren "Bob" Gill Jr qui a été le principal instigateur de cette fameuse semaine de "vacances" pour les jeunes des collèges et des universités du pays de l'oncle Sam. Il est reconnu comme le "père" du "spring break" à Fort Lauderdale. En 1935, l'équipe masculine de natation de Colgate University a commencé à se rendre dans cette localité pour s'y entraîner, à ce moment de l'année scolaire. Cette habitude a tracé la voie et a incité d'autres membres d'institutions d'enseignement à l'imiter. Ce qui a eu un effet d'entraînement qui a fait boule de neige (bien qu'il soit curieux de parler de neige dans ce cas !) et qui a attiré de plus en plus de jeunes à Fort Lauderdale lors du congé d'études.



En 1960, Fort Lauderdale s'ancra encore davantage dans sa vocation de capitale du "spring break" grâce au film "WHERE THE BOYS ARE", dont le scénario tourne justement autour de collégiennes qui rencontrent des garçons lors d'une semaine de relâche sur les plages de la station balnéaire floridienne. Mais au fil des années, avec la libération sexuelle et le relâchement des moeurs, les résidents de la place ont commencé à trouver moins drôle les folies des étudiants. Des jeunes bruyants et dérangeants, constamment sur le "party", causant de plus en plus de dommages aux propriétés publiques et privées. En 1985, sous la pression des citoyens, les autorités municipales ont dû mettre en vigueur des lois et des règlements restreignant les "parties" et les célébrations de toutes sortes qui troublaient l'ordre public. C'est également cette année-là que le gouvernement américain a adopté la loi fixant à 21 ans l'âge minimum pour consommer des boissons alcoolisées sur son territoire.



Ces mesures législatives plus sévères ont eu pour conséquence directe de déplacer le "spring break" vers des destinations étrangères plus accueillantes pour les "frasques estudiantines"... Le Mexique, entre autres, est devenu une terre hospitalière pour les jeunes en mal de liberté et de sensations fortes lors de la semaine de relâche... Sur ces nouveaux sites en dehors des USA, ou bien l'âge légal pour se saouler était plus bas, ou bien les lois et les règlements régissant cette norme n'étaient tout simplement pas appliqués... En tout cas, l'effet des restrictions promulguées à Fort Lauderdale a été brutal. Dès 1989, quatre ans après avoir été mises en vigueur, ces contraintes légales avaient fait passer le nombre de visiteurs de 350 000 à 20 000 durant la relâche.




De temps à autres, au cours des prochains mois, CLIN D'OEIL SEXY montrera ce qui se passe durant ce "spring break", une semaine de congé qui est tout, sauf reposante, pour ces jeunes hommes et ces jeunes femmes qui imaginent toutes sortes de concours et d'activités pour s'amuser ferme. Ça va des concours de bikinis jusqu'aux concours de gilets ou de camisoles mouillés, en passant par le calage de bière ou de spiritueux, et les "body shots", cette extravagance qui consiste à boire ou à lécher diverses substances ou boissons directement sur le corps de jolies filles (photo ci-dessus). Oui, il n'y a pas à dire, on en voit réellement de toutes les couleurs lors de cette incroyable relâche printanière ! Il faut bien que jeunesse se passe, mais, à certains endroits, elle se passe parfois de manière plus spectaculaire qu'ailleurs...


Monday, June 20, 2011

The Administration and News Pavilion

The Administration and News Pavilion (Expo 67)
The Administration and News pavilion was the nerve center of Expo 67.

Located in the Cité du Havre sector near Place d'accueil and the International Broadcasting Centre, the 3-storey structure housed the offices of Expo 67's administration and news services.

The award-winning building featured a stepped exterior, each floor overhanging the one below, providing maximum protection from direct sunlight.

Expo's 6 different administrative departments shared this space, including the public relations department (directed by Yves Jasmin),  Logexpo - the fair's housing bureau, and Expovox - its information centre. 

The Administration and News Pavilion (Expo 67)
The building had 3 wings, each with its own entrance hall; the idea being that each area could be used separately if so desired.

The halls were decorated by large concrete mural sculptures, the work of leading Canadian artists.  Different artists gave each of the entrances its own distinct look. 

The Administration and News Pavilion (Expo 67)
Impressive facilities were set aside for international journalists visiting Expo:

A bowl-shaped, 150-seat amphitheatre equipped with 6 television cameras was used for press conferences.  There were 4 studios reserved for filmed interviews, and 9 booths for radio broadcasting. Distinguished guests and newsmen had access to a special reception salon and a completely equipped press room.  Simultaneous translation facilities and interpreters were continually on hand. 

The building also featured a cafeteria, restaurant, bar, and underground parking.

The landscape area between the Administration and News pavilion and the International Broadcasting Centre contained a large reflecting pool and a sculpture.

The Administration and News Pavilion (Expo 67)
Unlike most Expo 67 structures, the Administration and News pavilion was designed to be permanent.  The building still exists today, housing the offices of the Montreal Port Authority and the Maritime Employers Association...

images: (1) expo67.ncf.ca
(2-3-4) personal collection (Montréal magazine)

Monday, June 13, 2011

BELLA REMPORTE LA PREMIÈRE COMPÉTITION DE CLAQUES SUR LES SEINS !


À voir leurs formes super sexy, on se dit qu'elles ont le physique de l'emploi. À en juger par leurs démonstrations préliminaires de "shadow Boxing" et de "shadow slapping", on constate qu'elles sont en bonne forme physique. À leur façon de se mesurer du regard et de se toiser, on devine que ces deux impétueuses blondes sont dans des dispositions belliqueuses qui garantissent le succès de cette première compétition annuelle de claques sur les seins...

Et UNIBROW, le producteur de la très drôle vidéo (ci-dessous) tournée lors de cette première présentation d'un championnat nouveau genre, qui restera sans doute gravée dans la mémoire de ceux et celles qui en ont été témoins, a vraiment mis toute la gomme pour justement en faire un évènement inoubliable. Mise en scène à la fois hilarante et crédible; commentateurs débiles y allant de plaisanteries bien choisies afin de nous faire rire ou sourire par leur caractère délibérément "niais" mais irrésistiblement humoristiques; témoins triés sur le volet pour servir d'arrière-plan loufoque à ce spectacle "titillant"; un arbitre aux explications drôlement claires et à la gestuelle entraînante; un montage technique irréprochable (textes, super ralentis) tout contribue à mettre en valeur nos deux combattantes courageuses dans cette vidéo très réussie !


À prime abord, ça ne paraît peut-être pas, mais il en faut de la hardiesse, de l'adresse, du doigté, de la concentration, et de la précision pour atteindre la cible et marquer des points ! Pour s'assurer de la victoire dans ce défi sportif de "haut" niveau, il est peut-être encore plus important de savoir encaisser les coups que de frapper solidement son adversaire. Pas facile de rester stoïque et de ne pas montrer que la claque retentissante que vous venez de recevoir vous a fait mal. Ça prend une bonne dose de courage et de contrôle de soi. D'ailleurs, je soupçonne que c'est le seuil de douleur élevé de Bella, son orgueil apparent, de même que son visage hargneux et défiant qui ont impressionné le plus les juges, qui l'ont proclamée championne. Ce qui a perdu son opposante, c'est probablement la grimace qu'elle a faite en encaissant la première claque bien placée de la tigresse Bella...

Bof ! Ce n'est que mon opinion personnelle, sans doute altérée par les nombreux fous rires que je n'ai pu réprimer en regardant ces images fort divertissantes et captivantes ! D'autres, féministes ou hommes roses, qualifieront cette comédie de stupide, mais cette nouveauté s'inscrit dans la suite des concours de gifles ou de tapes sur les fesses, toutes des activités burlesques destinées au plaisir et à l'amusement d'un public déluré qui ne se pose pas trop de questions existentielles ou philosophiques... Dans ce monde fou, fou, fou, vous croyiez, comme moi, avoir tout vu ? Détrompez-vous !